Franchement, en ce début d’année les jeux vidéo m’avaient manqué en 2019 et j’ai donc commencé une série de jeux que je voulais jouer depuis un moment, la trilogie des jeux vidéo métros.
Ça tombait bien, j’avais peu d’argent et PlayStation faisait des gros rabais sur les 2 premiers jeux. Je suis un homme facile, j’ai craqué. Ne connaissant pas l’univers, mais ayant grave envie d’en apprendre plus. Je me suis lancé dans l’aventure avec ce jeu qu’est Metro 2033.
Deuxièmement, mon envie de relancer ma chaîne Twtich se faisant plus présente que jamais, j’ai décidé de faire toute l’aventure en live. Il m’a fallu 4 Lives de plus de 4h pour arriver au bout du premier opus. L’ambiance est vraiment le point fort de cet opus. Les lumières et la propagation du son sont extrêmement bien dosées. Une chose que je ne pensais pas, la difficulté est bien amenée. Je suis mort à certaines parties de l’histoire un nombre assez conséquent de fois. Et pourtant, ça n’a jamais enlevé mon plaisir de vouloir réussir.
Donc les lumières et le son sont top, mais il n’y a pas que ça, il y a aussi les dialogues qui sont superbement bien écrits et interprétés par des comédiens de doublages. Il y a beaucoup à gérer, le masque à gaz, ainsi que l’énergie, les balles et les armes. Car malgré le nombre d’armes assez conséquent on ne peut pas en équiper plus que trois. Et c’est quand je me suis fait avoir en tout début de partie par une fausse prostituée qui a volé tout mon fric que je me suis dit la suite va être compliqué. Je n’avais pas tort, les bibliothécaires ne m’ont jamais fait aussi peur.
On s’attache assez vite au personnage secondaire qui nous sauve la vie, et quand on ne peut pas rendre l’appareil et que l’on voit les personnages mourir sous nos yeux, ça nous laisse un goût d’amertume. Il y a beaucoup de choses, l’univers de Metro 2033 à l’air riche et si je n’ai pas tout compris à l’intrigue, j’ai hâte de lire le livre pour en apprendre le plus possible. Je reviendrais peut-être dessus plus tard en live, je referais une nouvelle partie, car paraîtrait-il que j’ai tué trop d’humains. Je n’ai donc pas eu la « Bonne fin », même si pour moi la vue d’un métro russe exploser par des missiles me disant que j’avais réussi, m’a semblé être plutôt bon, ce n’est pas très éthique après des catastrophes nucléaires.
Avec ce jeu, j’ai aussi ressenti l’oppression de vivre sous terre, et de devoir sortir avec des masques à gaz. Tout en me prouvant que dans de telles extrémités l’homme se résout à croire à des idoles du passé. J’ai adoré vivre cette aventure, et elle m’a redonné le goût du live. Parler en direct et vivre cette histoire est une manière supplémentaire pour moi de partager ma passion. Car que ce soit par des supports papier ou visuelle, ma passion c’est d’expérimenter et de comprendre les histoires. Qu’est-ce qui me permet de me plonger dans tel ou tel univers ? La fluidité de la lecture, du game play ou de la narration pour le cinéma.
Ces expériences multiples que je n’aurais pas pu vivre sans supports imaginaires et qui m’inspirent me marquent et me permettent de réfléchir sur ma propre condition et sur mon propre libre arbitre. Ces immersions dans des univers propres m’ont permis à répondre à pas mal de mes questions existentielles, sur qui j’aimerais devenir et être. Je suis fier d’avoir des modèles imaginaires qui me donnent des buts dans cette vie. Et qui me permettent d’expérimenter des choses que je ne pourrais jamais faire à l’heure actuelle.
Sur ce je vous souhaite une bonne semaine et n’hésitez pas à me suivre pour mes Lives sur Facebook ou Twitch.
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Jérémie Crow
Cinebook 
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