De Oren Miller
Résumé
« Monsieur et Madame Bartoli sont heureux de vous inviter au mariage de leur fille Apolline et de son fiancé Adam à la Cathédrale de Monaco. La cérémonie religieuse sera suivie par un vin d’honneur à 17 h puis par la combustion spontanée de la mariée et son enterrement. » N’ayant aucune confiance dans le travail de la police, le père de la mariée, Hippolyte Bartoli, fait appel au service de deux enquêteurs connus pour résoudre discrètement les affaires les plus étranges. Et si la solution se cachait là où on s’y attend le moins : sous la voile de la mariée…
Mon avis
Eh bien, juste après avoir fini le livre : J’agonise, fort bien merci. J’avais une hâte sans précédent à retrouver les deux protagonistes qui sont Maître Evariste Fauconnier et Isabeau le Du, accompagné de leur George, c’est comme Batman et Robin, mais en plus drôle et qui n’a rien à voir. On se replonge sans difficulté aux côtés de ces personnages, avec un humour d’un telle cynisme, que ce livre une fois de plus m’a fait éclater de rire dans un transport en commun et passé denouveau pour un fou psychopathe qui ris devant ces livres.
Les éditions de l’homme sans nom, font une fois de plus encore très avec ces couvertures très soignée. J’adore leurs couvertures, elles ont un respect immense pour leurs œuvres ou leurs auteurs, en tout cas, c’est ce qui s’en dégage.
Bref revenons au livre espèce de lèche cul.
Oh, tu te calmes s’il te plaît.
Bon quoi dire à ce duo très sympathique, telle Sherlock et Watson qui nous résous des mystères, et bien Fauconnier et Le Du nous montre aussi une intelligence à tout épreuves. On le remarque dès les premières pages avec cette fameuse et sordide affaire des macarons. Deux ans se sont écoulées depuis les événements de J’agonise fort bien, merci. Et on le sens, Isabeau est devenu moins naïf, et comprends beaucoup mieux son mentor. On le ressent très clairement durant tout le livre. D’ailleurs c’est aussi de ces deux-là que vienne l’humour incroyablement décalée face à la situation.
Bon mon personnage préféré est sans contester George, il sort de nul part, à un instinct de dingue et ces dialogues sont à mourir de rire, je vous ai déjà dit être passé pour un psychopathe riant dans un transport public, et bien c’est à cause de ce macchabé de George :Est-il un mort vivant ? Un espion russe ? Ou tout simplement un majordome hors du commun, tant de mystère enveloppe encore ce personnage, ce qui est fort plaisant.
Le style de Oren Miller ce lis tout seul, on est emporté par une succession d’événement qui nous font passer un excellent moment. Du rire à la tension et le frison que certain de nos amis pourrais mourir, Oren Miller, dose parfaitement le rythme de son roman. Je vous le recommande, bien entendu si vous désirer comprendre certaine chose il faut mieux commencer par J’agonise fort, bien merci. Mais si la curiosité de la mariée vous attire plus faîtes donc et foncez dévorée ce livre. Et si vous n’êtes pas encore entièrement convaincu, je vous conseille d’aller jeter un coup d’œil à la chaîne Youtube d’Oren Miller. Son humour est pareil que dans les livres ainsi que sa grande classe. Elle vous expliquera entre autre comment faire un bon roman, ce qui n’est pas rien.
D’ailleurs sérieusement, ces titres de livres déchirent grave, c’est les titres et les couvertures qui m’ont attirée vers ces livres et je ne regrette rien.
J’ai adoré cette première lecture de 2018, je vais encore lire pleins de chef d’œuvre cette année, j’en suis tellement heureux. Vivement mon salaire pour de nouveau livre et de nouvelle aventure au sein de centaine de page. Bonne lecture à tous, je retourne lire avec ma couverture et mon thé.
Cordialement,
Mais j’y crois pas, ne mets pas de cordialement à la fin de tes chroniques, tu n’écrits pas un mail.
Ha oui, c’est juste
Bon finit ta chronique et retourne bosser, tu as un mois de retard.
Oui, c’est vrais petite voix, mais tu pourrais quand même être plus cordiale, je te rappel que tu n’es qu’une voix dans ma tête censé faire rire le lecteur.
Je te rappel que ça ne fonctionne pas, le lecteur s’en fiche de nos débats intérieur.
Jérémie Crow
Pour commander le livre: A présent, vous pouvez enterrer la mariée
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