Par Romain Delplancq

Résumé

Tandal est en fête. Tandal est en transe. Tandal ignore tout du cancer installé au coeur même de ses noces princières.

Esclave d’un jeu inconnu, le peintre Mical est aux oubliettes, et autour de sa cellule les couteaux s’aiguisent. Sa famille d’adoption Austroise fourbit ses stratagèmes pour l’en libérer. Les étranges Spadelpietra, oscillant de la sagesse à la monstruosité, font tanguer le pays entre grandeur et catastrophe.

Que le secret de ce théâtre de marionnettes se trouve dans la science volée des Austrois, dans les reliques de l’enquête de l’homme à l’oeil de givre et d’une hétérique de l’Ouest ou sous les murs d’une citadelle recluse dans les montagnes de l’Est… la clé pour lui survivre reste encore à découvrir, quelque part dans les sombres angles du clair-obscur.

Merci, la quatrième de couverture.

MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA (beaucoup trop de HA dans ce rire).

Mon avis

Dans un premier temps si vous n’avez pas vu la chronique du premier tome allez la voir. Ensuite, j’ai adoré encore une fois cette histoire, elle se finit en apothéose. C’est du grand livre, parce que c’est une bonne histoire. Et j’adore les bonnes histoires…. J’aime ça donner m’en plus. C’est bien écrit je trouve, du moins j’aime ce style.

Mais mon dieu cette fin, je n’étais pas préparée à ça, j’adore les fins auxquels je ne suis pas prêt. Alors dans le premier tome, il y avait un cliffhanger de folie. Mais dans ce tome la fin est imprévisible aussi.  J’ai soif d’histoire, j’ai soif de lecture et je commence à avoir denouveau soif d’écriture, c’est grave docteur ? Non, je ne crois pas… Ouf, alors tout vas bien. Ah, tous ces auteurs francophones, c’est incroyable. Ils me font kiffer d’ouf. Et comme à chaque fois je ne sais pas ce qui va m’attendre, j’ai l’impression que les auteurs adorent prendre par surprise les lecteurs, ça doit être un jeu terriblement tordu et plaisant.

Je commence à croire que l’écriture est autant riche que la musique. C’est deux arts terriblement attirant. Et dans ce livre on retrouve aussi d’une certaine manière des arts différents pour une histoire alléchante. J’ai dévoré ces deux livres en très peu de temps. C’est un kiffe intersidérale que de lire et de se laisser transporter par une plume qui sait où elle va. J’ai oublié de préciser que j’adore que Mical est les yeux vairons j’aime tellement ça. C’est hypnotisant ce type d’œil. Un gris et un marron ou noir, se perdre dans ces yeux doit être magique. Je ne peux pas vous spoiler une telle histoire, bien que j’essaie de ne jamais vous spoiler. C’est une histoire qui se vit, et se revit à travers un enchaînement stratégique de mot. Vous imaginez un auteur mettre aléatoirement des mots pour crée une histoire… se serais Dingue et étrange en même temps.

Comme je l’ai dit les couvertures sont très travaillée une nouvelle fois par Émile Denis, et en plus elle serve le récit, si on les observe attentivement, le personnage à vieillit et est maître de son environnement, alors que dans le premier tome il est absorber par son environnement et recroquevillé, donc petit. C’est incroyable qu’une couverture parle autant après la lecture. J’adore, peut-être que c’est comme le tableau de Mical, l’œuvre nous parle même achevée. Ou c’est moi qui devient fou à force d’écrire des chroniques dans une cave, avec deux furies qui me forcent à écrire ligne après ligne de belle critique. Tout ça pour me nourrir de pâtes et de pizza comme un italien. D’ailleurs l’univers ressemble un peu à l’Italie. J’aime bien l’Italie.

Mec, tu te rencontres que tu t’es complétement perdu, on se demanderait presque si tu as lu le dis livre.

-Bien sûr que je l’ai lu, je me suis juste perdu dans ma pensée.

T’es au courant donc que tu es déjà fou et que les gens qui lisent tes chroniques ne se foutent pas mal de ce que tu manges ou ce que tu vis.

-Ah, c’est des égoïstes. Il ne me parle jamais en plus.

Bon fini ta chronique et parle un peu des autres personnages que Mical.

D’accord, j’adore sa femme, ses beaux-frères, son oncle, enfaite je réalise que j’adore vraiment tous les personnages, même les Spadelpietra, c’est dingue. Enfaite, non il y a des personnages que je n’aime pas, mais comme il meurt je ne dirais pas leurs noms pour ne pas spoiler.

C’est bien un truc de petit, même l’auteur à spoiler le combat du dernier tome sur son site. T’imagine si G.R.R Martin avait ça dès le début de la série. Et bien je te le dis plus personne ne regarderais.

-Chut, l’auteur fait ce qu’il veut, par respect je ne dirais rien.

Moi je m’en fou je suis pas respectueux.

-Sa on l’avait tous deviner merci.

Donc, pour conclure, c’est un bon livre qui m’a permis de m’évader de cette réalité pour en visualiser d’autre et qui ma permis d’en apprendre un peu plus sur un artiste peintre. Et j’ai envie d’avoir encore quelques réponses sur certains personnages beaucoup trop attachants. D’ailleurs sa relève du génie, parce que ça donne aussi les clés de comment lutter contre une soif de pouvoir. Et c’est cool ça, enfin je pense. Dans ce monde ou tout le monde devient un peu plus égoïste à chaque instant, c’est une bonne chose de se rappeler la fraternité des Austrois. Bien que se serais utopique, ce serais rafraîchissant aussi.

Bref, si vous voulez lire les premières pages allées sur le site de l’homme sans nom. Et lisez d’abord le premier tome, soyez pas fou. Pas comme moi et les livre de Georgia Caldera, ou je commençais par le deuxième avec de Velour et d’acier ou comme avec Uncharted 4.  En réalité je réaliser que je ne suis pas doué pour lire ou expérimenter des histoires.

Et bien, c’est le moment de t’en rendre compte. Abrutit.

-Mmmmmm, je sais tu aurais voulu que Rozhnaro me mange. Comme dans la chronique Rêve d’Utica et bien non, je suis encore en un seul morceau. MOUAHAHAHAHAHAHAHAAHAHHA

Il y avait encore trop de HA dans ce rire aussi tu es au courant quand même. Il va falloir que tu te calme vis à vis des lecteurs, aucun ne va s’amuser à tous lire.

-Chut

Jérémie Crow

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